Ainsi, après Andy Warhol, le Musée de l’imprimerie et de la communication graphique propose jusqu’au 21 février 2021 de rendre hommage aux vinyles. D’ailleurs, cette manifestation culturelle est l’occasion de prendre conscience du retour aussi inattendu que triomphale de ce format. Dès lors, vous pourrez en explorer les origines et les singularités.
En somme, c’est pas un paradoxe. Car, le disque vinyle demeure symbole du matérialisme moderne. Car, véritable objet à part entière grâce aux pochettes, il a été ringards avec l’émergence du CD.
Effectivement, on a longtemps cru que le CD allait définitivement faire disparaître corps et bien le disque vinyle. Sans oublier la dématérialisation et l’émergence du téléchargement qui devaient apporter le coup de grâce.
Sans omettre les plates-formes de streaming. Cependant, c’est bel et bien le vinyle qui effectua son retour.
Durant le premier semestre de 2019, les vinyles ont engrangé 224,1 millions de dollars sur le marché américain pour 8,6 millions d’exemplaires vendus, contre un peu moins de 250 millions de dollars pour les CD.
VinylesMania : le retour en force du vinyle
Tout simplement, car la dématérialisation à outrance a suscité de la nostalgie. Et, paradoxalement la possession d’œuvres d’artistes. En somme, les 33 tours ont été érigés en tant que totem.
Effectivement, l’exposition VinylesMania proposée par le Musée de l’imprimerie de Lyon, la communication graphique est une plongée dans l’histoire. Dès lors, vous pouvez comprendre ce retour en force d’un format. L’exposition est commissionnée par le directeur des lieux, Joseph Belletante.
En effet, les lyonnais pourront découvrir et apprendre comment un son est transféré sur des microsillons, une plaque de cuivre. Puis, deux phases de polychlorure de vinyles chauffées.
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